Eidolon
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  PortailPortail  RechercherRechercher  Dernières imagesDernières images  S'enregistrerS'enregistrer  Connexion  
-21%
Le deal à ne pas rater :
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, Collection Botanique
39.59 € 49.99 €
Voir le deal

 

 Maëlys Eidolon

Aller en bas 
AuteurMessage
Maëlys
Membre de la Confrérie de la Mandragore.
Membre de la Confrérie de la Mandragore.
Maëlys


Nombre de messages : 13
Fonction : Adepte (Fille)
Date d'inscription : 30/04/2007

Maëlys Eidolon Empty
MessageSujet: Maëlys Eidolon   Maëlys Eidolon EmptyLun 30 Avr - 3:49

Nom : Eidolon
Prénom : Maëlys
Age apparent : environ 16 ans, difficile à certifier le chiffre avec exactitude.
Sexe : Féminin
Poste occupé dans la Confrérie : Adepte (la fille)

Histoire : Histoire ? Ah oui, ces mots qui racontent quelque chose qui s’est passé. Mais pourquoi s’attarder dans le passé ? Le présent est tellement plus attrayant…


Description mentale :

Mentale, une chose bien étrange ! Il paraît que ce mot regroupe tout ce qui caractérise un être, ou du moins tout ce qui se trouve dans la tête d’un être. Dans la tête de Maëlys ? Tant de choses, si vous saviez… Oh, elle est très simple, tellement simple en vérité ! Il n’existe que deux Maëlys entre les lianes de la Mandragore.
La première…
Elle est gentille, souriante, parfois mélancolique. Elle serre le cœur, donne envie de la serrer dans ses bras. Dans quelques rares instants, vous la surprendrez peut-être avec son violon en main, laissant les cordes pleurer des notes d’une beauté envoûtante, persistante. Elle est douce, compréhensive et accueillante, peut-être même vous surprendrez-vous à croire que la pauvre enfant n’a pas sa place dans cet environnement de perversion et d’esprits malsains.
Vous auriez tort, tellement tort.
Oui, elle est bien comme tous les autres, mauvaise et double, sadique à n’en point douter. Elle saura vous faire prendre goût à la souffrance, à l’esclavage. Joueuse, très certainement, une enfant dont la demeure n’est qu’une maison de poupée, où elle se plie à bon gré selon des lois qui lui conviennent parfaitement. Son but premier ? S’amuser de votre corps et de votre âme, torturer comme bon lui semble, chercher ce qui vous effraie, ce qui vous passionne, ce qui éveille votre haine ou votre amour pour ensuite vous mener à la baguette.
Petite princesse que voilà, dirigerait bien la maisonnée, cette ambitieuse ! Mais chut, pour le moment l’existence n’est qu’un jeu où elle se fait maîtresse le temps d’assouvir ses petits plaisirs.
En vérité ? Elle est hantée, pauvre Maëlys. Sa tête est une autre maison où les fantômes du passé viennent encore agiter leurs chaînes. Parfois ils transparaissent à travers ses beaux yeux, perdus quelque part on ne sait où, tandis que la mélancolie lui échappe, teintant ses traits d’une profonde tristesse. Mais elle sait les ignorer, estimant dès lors que le temps des regrets est passé. Le temps de la renaissance est venu, ne faut-il donc pas en profiter ?
Alors elle en profite, étrange Maëlys, attirant ou repoussant, jouant en tous les cas. Jouer ? C’est bien ce qui la caractérise. Elle n’a pas la moindre considération pour les autres êtres, cachant ses réelles ressentis étouffés pour laisser croire aux autres ce qu’ils veulent tant espérer. Sa famille n’y fait pas exception. Elle est si charmante, si docile, si obéissante envers eux que nul ne se douterait du degré de perversion de son pauvre esprit autrefois si innocent. Peut-être un jour cherchera-t-elle à mettre en application ses ambitions, qui sait. Mais pour l’heure… La comédie restera son plus grand plaisir, son plus grand talent.
Elle fait tout pour plaire, tout pour satisfaire, tout pour être une gentille fille sage de la famille. Peut-être même une partie d’elle y a prit goût, à cette volonté de satisfaire les siens, à chercher quelque chose à leur offrir pour qu’ils l’apprécient. Oui, sans doute ne l’avouerait-elle pas, mais quelque part, elle ne tient pas à être abandonnée, à nouveau…
A quoi servent donc l’ambition et le pouvoir si l’on a que des esclaves sur lesquels les exercer ?
Finalement à bien y regarder, peut-être trouverez-vous quelques paradoxes, quelques détails qui ne s’emboitent pas aussi parfaitement qu’ils le devraient. Elle a l’air tellement sincère en se grimant de cette image de jeune demoiselle fragile, instable, et tellement mauvaise quand elle prend le visage du bourreau pervers et délicieusement fou. Les deux faces d’une même carte, l’une est réelle, à vous de déterminer laquelle…
En tous les cas, elle semble passionnée pour une chose : la plante monstrueuse qui a envahi la maison. Elle peut passer des heures entières appuyée contre une racine, collant son oreille contre celle-ci, semblant entendre et ressentir la vie qui l’anime. Une sorte de culte peut-être ? Assurément.


Attitude envers les "Autres" : Les « Autres » ? Ah oui ! Les jouets ! Ils apportent un peu de couleurs et d’animations, ils sont amusants ! Dommage que parfois les jouets se cassent…



Description physique :

° Maëlys l’Humaine °
Jolie petite poupée délicieusement bien grimée…
Commençons par les généralités, voulez-vous… Maëlys n’est pas bien grande, elle semble avoir été figée dans un âge plutôt jeune. Sa taille devrait avoisiner le mètre cinquante-huit, au grand maximum. Elle a gardé cette figure humaine, ce minois angélique et innocent, ce reflet d’une pensée qui n’est plus aujourd’hui. Sa silhouette frêle renforce cet aspect de poupée, de créature facile à briser. Ses bras fins, ses jambes graciles, ses gestes élégants, pour un peu elle ferait très bonne figue en vitrine, à côté de ses comparses de chiffons et de porcelaine.
Ses courbes ? Figées dans une tout fin de développement, figées dans cette jeunesse qui offre fermeté et douceur pour des ondulations de toute beauté. Oui, la beauté est un terme plutôt adapté si l’on vient à s’égarer sur sa poitrine chaleureuse ou sa chute de rein vertigineuse. Ceci offre une agréable vision de l’ensemble, non ?
Plus de détails ? Bien…
Alors attardez-vous donc sur ses traits, son joli petit minois. Sous un nez discret se dessinent des lèvres douces et pulpeuses. Remontez l’ovale de son visage et croisez donc ses beaux yeux bruns pailletés d’or, brillant parfois d’une certaine espièglerie, trahissant aussi une chaleur à fendre l’âme. Ses orbes paraissent parfois d'un or fusion, mais peut-être n’est-ce là qu’une simple illusion d’optique. La peau est d’une pâleur parfois effrayante, un teint diaphane qui conforte à tort dans cette illusion de fragilité. Peut-être aurez-vous l’impression que cette peau n’est pas blanche, mais plutôt d’un vert pâle, sans doute encore une autre illusion. Pour renforcer cet aspect délicat, ses cheveux sont d’un blond pâle, tellement pâle qu’à faible luminosité, ils en paraissent d’argent. Ils sont longs, tellement longs, glissant libre jusqu’à ses genoux, tout juste retenus en leur milieu par un large ruban. Ils encadrent son visage, voletant au gré des courants d’air, agréablement doux au toucher. Elle semble aimer y accrocher des choses, pouvant aller d’une plume ramassée sur le sol à quelques fleurs qui lui seraient parvenues. Parfois c’est une autre personne qui lui glisse une parure entre ses longues mèches d’argent.

° Maëlys le Monstre °
Elle se rapproche de la végétation, Maëlys. Son sommeil salvateur, elle le trouve en se lovant dans les racines, en laissant la Sainte Mandragore l’accueillir en son sein. C’est dans ces instants-là qu’il est plus fréquent de la voir sous forme végétale. Ses membres torsadés de lianes se déploient, enserrent la Plante, comme une enfant se blotti contre la poitrine maternelle. Ses cheveux mêmes se muent de longues tiges d’un vert pâle, identique à celui que prend sa peau quand elle manque un peu trop de repos. Parfois elle se transforme ainsi pour combattre, mais ce genre de cas est tellement rare…


Tenue vestimentaire : Que serait une poupée de porcelaine sans de beaux apparats ? Maëlys aime les robes, ces voilages à l’ancienne qui s’écoulent sur ses jambes, ces corsets merveilleusement ajusté qui maintienne sa poitrine et dégage ses épaules, ses bottines légères si bien accordées à la tenue. Elle varie les couleurs, mais rarement les formes. Les pantalons ? Ça ne lui effleure même pas l’esprit. A la limite peut-être pourriez-vous la surprendre tout juste revêtue d’une chemise masculine trop grande pour elle.


Capacités, talents : Il y a deux arts dans lesquels Maëlys excelle : la musique et le théâtre. Pour ce qui est de la musique, c’est avec un violon qu’elle vous fascinera. Pour ce qui est du théâtre… Et bien tant que vous serez incapable de la manipuler, c’est bien la preuve que son talent vous dépasse encore.


Possessions : Toujours quelque chose dans les cheveux, au moins pour les retenir dans son dos. Son violon n’est jamais très loin d’elle non plus. A part cela, elle ne semble pas vouer de grand attachement à des choses matérielles, si ce n’est la Sainte Mandragore.


Spores/Sève : Sous l’effet de la peur, elle peut générer une sève légèrement parfumé sur sa peau. A son contact, elle provoque de violents vertiges, d’une durée de quelques minutes, mais largement suffisante pour lui permettre de fuir. Son seul autre pouvoir réside dans des spores qui décuplent les sensations physiques, un peu à la manière d’une drogue. Gare aux effets de dépendance !
Revenir en haut Aller en bas
 
Maëlys Eidolon
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Victor Eidolon
» Règles de Eidolon
» Skheïl - Eidolon
» Adreyan - Eidolon
» Netzach Eidolon

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Eidolon :: Avant de jouer :: Âmes Errantes. :: Eidolons.-
Sauter vers: